By Rosemary Jules-Rosette

juillet 8, 2021

cat-friendly, Lifestyle, Mes chats, mode de vie

Je pense à déménager .... pour mes chats !

J’ai toujours été citadine.

J’aime la ville, sa multitude, ses animations, ses dédales de rues et ses espaces verts.

J’habite en ville depuis des années : Sarcelles, Paris, Clermont-Ferrand, Le Caire en Egypte ;  aujourd’hui à Brignais, à 15 km de Lyon.

J’apprécie beaucoup cette charmante commune de 11700 habitants : elle présente un très bon compromis aux portes de la foisonnante Lyon  et si proche des coteaux et des champs de sa campagne. 

J’y réside depuis 12 ans. Mes filles ont grandi ici, et 9 de mes chats sont nés dans un coin brignairot.

Et pourtant, je vais quitter cette ville.

“Pourquoi déménager alors que tu as toutes tes habitudes ici ?” me demanderiez-vous (ma mère aussi, sans aucun doute !)

Effet confinement ? 

S’installer à l’extérieur des grandes métropoles a séduit de nombreux Français ces derniers mois. Pour certains, un projet à réaliser plus tôt que prévu, pour d’autres une opportunité à saisir.

Pour ma part, vivre avec mes chats pendant cette période confinée m’a poussée à considérer l’angle environnemental de mon nouveau mode de vie : Espace, Natures et Naturel sont les 3 mots qui ont pris place dans mon esprit.

Je me suis rendue à l’évidence : déménager est la seule voie pour moi et mes chats de nous sentir bien dans un environnement mieux adapté.

Est-ce juste une envie ou un véritable besoin ?

Est-ce réalisable et à quel prix ?

Comme pour tout projet, il est intéressant de sonder nos intentions, de comprendre notre histoire et d’avoir une bonne connaissance de soi avant de s’engager dans un changement profond. Même si mon engagement est déjà bien fort, prendre le temps de partager mes motivations est un très bon exercice !

Catification pour ChatsChezNous !

Crédit Photo : marthijn-brinks-Unsplash

Réinterroger son mode de vie : la place du naturel.

Les leçons du confinement.

Nous avons vécu le confinement chacun à notre manière.

À situation inédite, réactions inattendues !

Contraints de fonctionner autrement du jour au lendemain, nous avons été pris au dépourvu sur certains plans de notre quotidien.

En l’absence de camp d’entraînement “confinement”, l’improvisation est très vite devenue une manière de s’adapter. S’improviser ne s’apprend pas. Notre nature nous permet de réagir parfois sans filet, sans préparation initiale. Mais pour certains, cette nature a disparu et l’adaptation aux situations se révèle plus complexe.

Assignés à résidence pour beaucoup, nous avons réévalué nos besoins de sorties, de consommation, de vacances et de projets.

Beaucoup de verrous ont sauté :

  • le télétravail, 
  • les commandes sur Internet, 
  • les circuits courts, 
  • l’école à distance…

Mais rester chez soi, entre ses murs, nous a permis de voir certains dysfonctionnements mais aussi des avantages. 

C’est ainsi que nous nous sommes réapproprié tant bien que mal nos lieux de vie : appartement, maison, avec le must : balcon ou jardin. 

"Vivre Tous ensemble !"  sous le même toit n’a pas forcément été très “naturel” : comment occuper les enfants, comment distinguer la limite vie perso et vie pro...

Ou si nous sommes célibataires, nos murs ont été le témoin de notre solitude subie ou assumée.  

La période s’est donc prêtée à l’observation de notre environnement intérieur. 

  1. Des pièces que l’on retrouve en les “habitant” plus souvent.
  2. Des manières particulières de circuler de la chambre à la cuisine, du salon à la chambre.
  3. Le calme ou l’animation de nos lieux de vie et de travail entremêlés.
  4. De larges volumes ou trop étroits lorsqu’on cohabite à plusieurs.
  5. Une déco sans âme ou l’absence de vie décorative

Envie de se sentir bien chez soi quand on y respire 24h sur 24 est devenu un impératif.

D’ailleurs, une tendance s’est très bien démarquée : le “slow living”. Prendre le temps de s’adonner à des activités telles que le jardinage ou le bricolage pour redonner à son cocon une tonalité plus chaleureuse ou plus pratique, est maintenant un vrai mode de vie.

Comme le démontre le record de ventes en ligne pour les magasins de bricolage, d’ameublement et de décoration d’intérieur pendant les longs mois de confinement. Ne dit-on pas que prendre soin de son foyer revient à prendre soin de soi ? Les gens avaient un besoin très fort de “se soigner” le moral et le bien-être dans une période jamais vécue, source de stress et d’incertitude.

Comme beaucoup, j’ai senti la nécessité de comprendre ce qui m’entourait.

J’ai posé mon regard ici et là chez moi. Le constat est sans appel ! Mon quotidien et mon espace sont anthropiques : liés à l’existence et à la présence d’humains.

Tout est façonné à nos usages de bipèdes civilisés... 

Ce temps de réclusion partielle chez moi m’a donc permis de me reconnecter à mon intérieur et à ses habitants.


Mon lifestyle : un nouveau mode de vie


J’ai ainsi questionné ma façon de vivre avec plusieurs chats dans cet appartement conçu par les humains pour les humains. Surtout depuis cet été 2020 où le nombre des chats a doublé chez moi. (Lire aussi : j’apprends à vivre avec 10 chats)

Différentes lectures et vidéos m’ont ouvert l’esprit et les yeux sur comment rendre un environnement cat-friendly. Entendez “Harmonieux  et respectueux des besoins des chats.”

  • Réaménager les espaces,
  • Repenser à la circulation (les couloirs de la mort !”
  • Visualiser l’espace en 3D 
  • Plonger dans la verticalité !

Locataire depuis 12 ans, je me suis alors sentie alors doublement confinée de ne pouvoir cloisonner, percer, poncer, fixer, suspendre comme je l’envisageais.

Alors, j’ai pris une décision :

Si ce n’est pas possible ici, c’est donc possible ailleurs !

Un nouveau projet prenait forme. Plus j’y pensais, plus l’idée me motivait.

J’ai dû me poser 2 questions avant de me jeter la tête la première !

  • Est-ce juste une question de décoration d’intérieur ? 
  • Ou une simple envie de bol d’air à la campagne ?

Parler de mon projet naissant à mon entourage prête à sourire, je le vois bien.

Certains hochent la tête d’un air : Sérieux ? À quoi ça sert ?

D’autres esquissent un petit rictus bienveillant : selon eux, cette lubie sera satisfaite par 2 ou 3 arbres à chat à moumoutes horribles et quelques griffoirs en carton ici et là.

Que nenni, les amis !

Mon projet dépasse le point de vue décoratif et l'équipement industriel pour mes chats.

Il s'agit avant tout d’un mode de vie. De mon mode de vie. 

Celui que j’ai choisi, mon lifestyle : cohabiter avec des chats dans un environnement plus naturel et plus propice à la satisfaction de nos besoins respectifs

Peut-être ma nature profonde demande-t-elle à s’exprimer à l’aube de ma seconde partie de vie ? Fréquenter des animaux peut-il raviver notre part animale, celle-là même enfouie tout au fond de nous depuis que le monde est civilisation ?

Je le saurai une fois expérimenté. Enfin, peut-être...

C’est pourquoi déménager pour que mes chats et moi puissions appliquer notre mode de vie est une évidence et donc une nécessité !




Pablo le chat près d'un pot de plante succulente

Crédit photo ©ChatsChezNous - Pablo le chat et la succulente

L’appel du sauvage pour cohabiter en harmonie


Cohabitation contrainte ou épanouie ?


J’ai la chance de louer un grand appartement en duplex. Il offre tout le volume nécessaire pour que chacun trouve sa place et cohabite dans de bonnes conditions.

Mais la qualité de vie n’est pas seulement une question de volume.

Chez moi, les chats que j’ai recueillis ne choisissent pas grand-chose, en réalité. 

Ils se sont adaptés, voilà tout. 

Et plutôt très bien ! Bravo !

Avec quelques accessoires qui les aident à se sentir “chat” dans un intérieur d’humains, ils évoluent avec un naturel à toute épreuve d’une pièce à une autre, du canapé jusque sous le lit, sur les étagères d’un placard ou dans un lavabo !

Sans nous poser la question dix fois, nous sommes bien conscients que ce “naturel” affiché est superficiel.

Est-ce vraiment naturel pour un chat :

  • D’attendre sa nourriture en boîte ou en sachet ?
  • De dormir dans un lit ou sur un fauteuil ?
  • D’avoir une litière qui sent le talc ?
  • De se heurter à une porte fermée ?

On pense à tort que le si chat s’est habitué, c’est donc qu‘il est heureux.

En sommes-nous si sûrs ?

Posons la même question à un détenu en prison : il s’est peut-être habitué, résolu à vivre dans les murs de sa cellule. Pour autant, pouvons-nous affirmer qu’il est heureux ? Non, bien sûr.

Comme toute espèce vivante, nous nous accommodons des circonstances. Dans le but de rester en vie. Quitte à refouler certains besoins, à accepter des compromis pour préserver sa sécurité, son confort, sa nourriture.

Si l’adaptation ne “prend” pas, cela risque d'entraîner des troubles du comportement chez les individus inhibés et frustrés. 

Cohabiter signifie vivre ensemble en harmonie. Où l'épanouissement de chacun est visé.


Le deal de la cohabitation


Comment trouver cette harmonie quand le lieu d’habitation n’est pas fait pour une partie des occupants ?


En observant, j’ai fini par comprendre que les besoins de mes chats ne pouvaient pas être satisfaits. Ajoutons des maladresses et des erreurs d’humains et des troubles du comportement apparaissent et compliquent le quotidien. Par exemple, l’un de mes chats “chasse” les juniors avec une agressivité inquiétante.(Lire aussi : J’aime mes chats mais je ne les respecte pas.)

D’où ma volonté d’agencer mon logement pour :

  • le respect des besoins physiologiques de mes chats,
  • la fin de certains problèmes de comportements qui contrarient le quotidien.
  • Un sentiment de bien-être chez soi.
  • Ne pas tomber dans la paranoïa d’une colonisation de chats comme dans les livres de Bernard Werber !

Cela dit, la réalité est telle que je ne suis plus chez moi !

Je l’accepte sans broncher.

J’ai accueilli de nouveaux petits compagnons en leur donnant une place dans mon quotidien.

On vit ensemble dans un même un lieu.

C’est donc une cohabitation.

Un espace que nous occupons ensemble n’est donc plus uniquement le mien.

Nous partageons des pièces dans lesquels nous satisfaisons nos besoins

  • J’ai besoin d'une salle de bains pour me doucher.
  • Le chat a besoin de griffer une matière agréable selon lui.
  • J’ai besoin d’un canapé large et confortable – selon moi — pour lire et m’y détendre.
  • Le chat a besoin d’observer son territoire en hauteur et de s’y reposer.

Ça fait partie du deal de la cohabitation !

Sinon, cela ressemble à une invasion, une occupation indésirable... et je suis certaine qu'en aimant nos chats nous ne pouvons les considérer comme des intrus. Ils sont des membres de la famille, non ?


Un bananier dans ChatsChezNous

Crédit Photo ©ChatsChezNous - Grandes feuilles du bananier

Comment aménage-t-on un endroit commun pour différentes espèces ?


C’est la question à laquelle répond la catification, mise en avant par Jackson Galaxy, le cat daddy qui promeut avec beaucoup de conviction et d’humour l’enrichissement de nos intérieurs pour le bien-être de nos chats et des humains !

Je suis séduite par cette idée solution ! Car elle répond avec précision à ma quête d’harmonie et de bien-être tout en donnant une perspective nouvelle à un cadre de vie.


Le naturel dans l'air du temps


Dans nos modes de vie, le naturel réinvestit nos environnements et nos pratiques. 

  • Tout l’univers du bio, du marché de producteurs aux produits d’entretien de la maison.
  • Le yoga, la cuisine healthy via le flexitarisme et le végétalisme (vegan). 
  • Les tendances en décoration d’intérieure : par exemple, le japandi (mix déco japonaise et scandinave).
Comme si nous voulions redonner une place à cette nature que nous avons éloignée pour mieux la contrôler et l’exploiter.


Les procédés de “catification” sont plutôt simples (parce que le chat a des besoins simples !) : 

  • soit la customisation et le DIY : manuel, développement durable, économique.
  • Soit en faisant appel à des artisans pour des aménagements plus spécifiques.

Chez moi, l’absence de plantes et de vert s’est ressentie ces derniers mois. 

Comme si je manquais d’oxygène.

La nature instinctuelle des animaux nous fascine davantage quand nous avons remplacé nos instincts par des besoins de possession matérielle, de reconnaissance d’existence sociale… Quel sens cela donne-t-il ? 

Et quand en est-il de ma véritable nature : celle qui me fait prendre soin de moi, celle qui écoute mon corps, celle qui ressent mon intuition, celle qui respire pour que je vive ?

Et l’idée folle m’est venue de réintégrer la nature dans mon futur chez moi.


Catification végétalisée.


J’ai écouté le podcast de “la voix veirte “ : l’interview de la jardinière - botaniste Mélanie Lily m’a transportée ! Son engagement pour la justice climatique et sociale est éloquent : tout comme les animaux, les plantes ont besoin d'être protégées car sans elles, plus de vie sur terre. C'est simple et  évident, même si on a tendance à l'oublier. J'ai même appris qu'il existait des trafics de cactus rares pour des personnes avides de rareté et de gigantisme. Sans faire de psychologie, cela traduit quelque chose.  (Visitez son profil Lilyfairly sur Instagram et celui de Veir Magazine sur le même réseau)

Mon projet n’existait pas il y a encore un an.

C’est assez dingue quand j’y repense. 

Je n’aurais jamais cru un jour écrire sur ce sujet et encore moins sur les chats et l’aménagement intérieur pour eux.

La vie vous réserve de belles surprises au détour de ses parcours, parfois tumultueux. On croit tout perdre un jour. Et il s’avère qu’un nouveau départ vous déporte de vos sentiers battus et vous ouvre les portes d’une nouvelle aventure !


La récente lecture d’un article sur David Attenborough a cristallisé ma réflexion : le célèbre documentariste anglais nous invite à :

“Réensauvager le monde pour rendre à la planète un peu d’espace que l’humanité lui a pris”.

Lire, le magazine littéraire - juin 2021.


Eurêka ! Me suis-je dit ! De la nature plein la maison pour réunir faune et flore !

Et de me souvenir d’une visite enchanteresse à la pépinière Kuentz, à Fréjus en 2018 : je voudrais vivre là ! , avais-je pensé, conquise par la beauté florissante et calme du site !

Cela peut paraître petit comme enjeu, mais il révolutionne mon mode de vie ! J'apporterai peut-être ainsi ma modeste contribution à la planète. Je suis certaine de ne pas être la seule à vouloir agir pour un monde meilleur

“Mieux vaut allumer une bougie que maudire les ténèbres.”

C'est une phrase qui me guide dans mes moments de doute qui repoussent l'action. Quand je crois que c'est possible, j'ai raison ! 


Il ne me reste plus qu’à envisager des installations qui supportent l’humidité, et étudier la diffusion de la chaleur, de l’air, l’orientation de la lumière, tout ce qui caractérise un écosystème selon mon idée de non-spécialiste.

Pour redonner à la nature plus de place chez moi : comme pour me remettre dans mon élément originel ?

Rappelons-nous que nous fûmes les hôtes de la nature avant de vouloir en devenir les maîtres.



Je ne m’inscris pas dans une démarche forte telle que revenir au temps des chasseurs-cueilleurs. 

Je respecte ceux qui ont cette démarche.

Mais elle n’est pas pour moi.

Je vis avec mon temps. Je ne veux pas me passer de la technologie.

La technologie n’est pas incompatible avec la nature. 

Tout est question d’intentions et d’utilisations.



Réunir la faune et la flore.


Mon idée générale est d’apporter une forme de complétude environnementale : la faune et la flore réunies dans un espace de vie partagé.

N’est ce pas fabuleux de remettre la nature au cœur d’un environnement familier ? 

Personnellement, je kiffe du haut de mes 51 ans avec mes 8 chats !

Cela dit, je ne réinvente pas la roue !

À l’instar du projet Eden : un complexe environnemental conçu par Tim Smit et dessiné par l'architecte Nicholas Grimshaw sur le thème de la nature et du développement durable. Il est situé à 5 km de St Austell en Cornouailles, Royaume-Uni. Le parc a été initialement créé pour démontrer la capacité d’utiliser la nature pour régénérer un site détérioré par l’activité humaine. Source Wikipédia  

Le site fourmille de conseils pour les débutants et pour les avertis sur les mesures et actions à prendre individuellement. Voir : Notre contribution. (En anglais)

Tout commence par une action, suivie de millions d’autres, pour faire la différence.

Moi, je veux juste recréer un espace plus naturel au cœur de ma maison avec mes chats !


Pablo le chat visitant la plante verte calathéa

Crédit Photo ©ChatsChezNous - Pablo et la nature 


Comment réaliser mon projet de catification végétalisée ?


À présent, l’objectif est de trouver une habitation qui ait l’envergure du projet : 

  • en zone rurale,
  • une maison ancienne individuelle avec des dépendances,
  • des espaces à réaménager en “urban pets jungle” (chats et chiens !)

Voilà mon idée de catification végétalisée et j’en suis convaincue à 300%. 

Je rêve de ce mode de vie humain félin.

Je serais ravie de bénéficier de vos conseils et avis car je suis une parfaite novice en la matière.


Premiers pas.


J’ai commencé par introduire de nouveau des plantes vertes et des cactus chez moi.

Avisée par mes dernières découvertes, j’ai veillé à intégrer des plantes non toxiques bien sûr pour les chats.

Les variétés de ficus que j’apprécie ont un feuillage nocif pour les matous. Donc, no ficus.

Déjà, succès fou pour les grandes feuilles du bananier que les chats aiment grignoter et griffer !

L’appartement s’est vu agrémenté de :

  • deux magnifiques bananiers, 1 grand et 1 petit.
  • un calathea, 
  • un beaucarnéa, 
  • et 3 cactus moyens.

Ces derniers sont préservés des crocs car leurs piquants dissuadent les babines délicates des minets !

Bon, ok, ce n'est pas avec cela que je vais repeupler la forêt native ! 

Pas encore !


Dernière action et qui est une grande première pour moi :

La réalisation (en cours) d'un arbre à chat à partir de morceaux de bois récupérés chez une amie et de pièces recyclées. J'apprends en même temps à développer mes compétences en bricolage : j'ai une marge de progression certaine !

Début modeste, mais début surtout.



Cactus dans ChatsChezNous

Crédit Photo ©ChatsChezNous - Cactus et Euphorbe


Retour à l'état sauvage ?


L’idée de vivre comme un zombie conditionné aux rythmes incessants de la ville et du travail déshumanisés ne me convient plus.

Nos espaces citadins parquent et cantonnent les arbres et les fleurs.

Me prendre pour un chat ? Très peu pour moi ! Cohabiter en harmonie avec eux, bien sûr !

Mon ambition s’affiche en toute simplicité : vivre et travailler dans un environnement proche de mes besoins et de ceux de mes chats.

Ce n’est pas l’appel du large, mais peut-être un retour à l’état sauvage pour une nouvelle harmonie. 

Que ce projet de vie et de cœur soit une œuvre vivante !


Merci de me soutenir dans ma démarche.

Que pensez-vous de mon projet : lubie ou prise de conscience ?


ChatsChezNous fait pousser de l'herbe à chat

Crédit Photo ©ChatsChezNous - Faire pousser de l'herbe à chat chez soi !

Je suis ...

Rosemary, et je vis avec mes 8 chats près de Lyon.

Chats Chez Nous est un blog sur la vie avec nos chats dans nos appartements ou maisons.

Vivre avec des animaux de compagnie est un véritable mode de vie et une aventure de tous les jours. Comprendre les besoins et les comportements des chats ainsi que les nôtres est la base pour de belles relations complices.

Je partage ici des ressources et des conseils pour le bien-être des petits félins tout en misant sur l'esthétique pour nos aménagements intérieurs.

 Chez nous, avec nos chats et notre déco.

Mode de vie catfriendly 

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